Pendant des mois, sa pseudo-universalité la faisait briller au firmament des bons systèmes. Les adjectifs pleuvaient pour encenser le merveilleux travail mené dans l’intérêt exclusif de la patrie et des salariés reconnaissants. Jean-Paul Delevoye est tombé comme Icare.
Trop près du soleil, d’un coup, ses ailes d’ange ont fondu. Le voilà même sous l’œil du Parquet, pas moins. Avions-nous oublié qu’il était déjà dans l’entourage de Juppé en 1995 ? Il avait appris sûrement des erreurs de l’époque. Mais n’a pas pensé à celles du présent...
Le CV de son « remplaçant » donne la nausée aux militants syndicaux, même à la CFDT. Nous encourons le risque qu’il n’enfile bien vite le costard du DRH sans état d’âme. Son entrée au gouvernement fait le
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