La mort d'un jeune homme, un soir de fête de la musique à Nantes, met sa famille et la
République au désespoir. Toute la lumière devrait être faite, et les responsabilités établies.
Au lieu de ça, le Premier ministre rend une copie blanche, avec à ses côtés le premier flic de
France écrasé par défaut de conscience.
La police souffre c'est évident. Le premier des services publics, le seul qui reste pour tous
les défavorisés de la terre, est en déshérence. Les agents sont démunis, les officiers
méfiants et les syndicats retournés. Nous vivons une crise profonde, d'une haute intensité,
mettant en danger l'équilibre des pouvoirs.
La population ne respecte plus ses représentants de l'ordre. Pire, entre angoisses et
aveuglement, les différents services en charge de notre sécurit
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