J’ai dévoré d’un trait le dernier roman de Jérôme Leroy, Les derniers jours des fauves, et je pense que, comme moi, vous serez captivés par cette histoire haletante de bout en bout (430 pages) qui pourrait tout aussi bien se nommer « coups tordus sur l’échiquier présidentiel ».
C’est un polar plus noir que noir ; une fiction plus vraie que vraie qui se nourrit de la partie cachée du monde réel dont elle met à jour les ressorts et mécanismes souterrains ; ce qui après tout est la marque de tout roman véritable.
Intrigues croisées
On ne dévoilera pas