Chaque progrès technique a son revers. L’humanité l’apprend à ses dépens. Et la planète, la faune, la flore, en souffrent. Comme l’atmosphère. Dans un monde parfait, nous serions tous en bonne santé et serions en train de cultiver notre jardin. C’est l’Éden, le paradis perdu qui reste, inconsciemment, porteur de toutes nos envies, nos désirs. Le serpent et la pomme, l’insouciance ou la science, le plaisir et le travail... Notre société vit sur ces archaïsmes, sur ces char