« Le service public, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. » Cette maxime on ne peut plus célèbre revient sur le devant de la scène depuis plusieurs semaines, et même plusieurs mois, avec la pandémie de la Covid-19 et ses conséquences. On pense d’abord au service public hospitalier pour répondre aux besoins de la population en matière de soins et sans devoir avancer d’argent. Quand la santé devient privée, elle amène à des dérives, comme les récentes révélations de vaccination sous le manteau de certains membres du conseil