Depuis la nuit de mardi, c’est la question qui nous anime quand on allume son téléviseur, sa radio ou bien même quand on ouvre son journal.Depuis mardi, et peut-être même depuis quatre ans, se joue aux États-Unis une drôle de mélodie.En 2016, l’élection présidentielle américaine fut déjà un triste spectacle concernant la démocratie.
Hillary Clinton arrive en tête du scrutin avec plus de trois millions de voix d’avance, malheureusement, elle ne gagne pas assez d’États possédant suffisamment de grands électeurs pour en obtenir une majorité. C’est Donald, qui a profité des largesses de Facebook [1], qui gagne.
Cette année, et à l’heure où nous bouclons, le nouveau président des États-Unis n’est pas encore connu mais déjà, le même Donald fait des siennes...
L’accès à la totalité de cet article est protégé
Il vous reste à lire 80% de cet article. Pour avoir accès à ce contenu et pour soutenir notre journal, abonnez-vous à Liberté Hebdo. Je m'abonne pour 12 mois A partir de 35 €
Déjà abonné ?
Identifiez-vous