Le passé nucléaire français en Algérie reste opaque

Publié le 16 avril 2021

Après la remise du rapport de Benjamin Stora sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, en janvier dernier, le Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN) avait pris diverses initiatives. Au nombre de celles-ci : veiller à faciliter l’accès aux archives classifiées relatives à la guerre d’Algérie et « favoriser le respect de la vérité historique ». Neuf députés (GDR, Liberté et territoires, Agir Ensemble, LFI et Non-inscrits) réclament une action en faveur des populations civiles et de l’environnement qui souffrent toujours des conséquences de l’enfouissement de déchets nucléaires, par la France, dans les sables du Sahara. Les députés se sont vainement adressés à la ministre des Armées et à la ministre de la Transition écologique qui, estiment-ils, semblent vouloir conserver une certaine opacité sur le sujet. Même chose pour le ministre des Affaires étrangères.

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