Non au révisionnisme historique en Pologne

Publié le 29 novembre 2022

La poursuite de la politique de « décommunisation » orchestrée par l’extrême droite au pouvoir en Pologne s’est récemment traduite par la destruction de monuments à la gloire de l’Armée rouge libératrice du pays en 1944-45. Attachée «  au souvenir du sacrifice consenti par ces 600 000 militaires soviétiques tombés, en territoire polonais, sur les champs de bataille les opposant au IIIe Reich », l’association Les Amis d’Edward Gierek a initié une pétition. Il y est demandé à l’ambassadeur de Pologne en France une intervention auprès des autorités du pays afin que cessent ces pratiques qui « relèvent de la falsification historique  ». Cet « Appel des 100 » a notamment été signé par le syndicaliste Louis Bembenek (CGT mineurs), le dirigeant communiste Hervé Poly, le résistant FTP-MOI Léon Landini, l’historien Stéphane Sirot, le philosophe Georges Gastaud, les maires PCF de Grenay et de Drocourt, Christian Champiré et Bernard Czerwinski, l’écrivain Jérôme Leroy ou encore de nombreux militants du PCF et du PRCF.

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