Qu’est-ce qui a vous décidé à être candidat à la mairie ?
Ça fait 15 ans que je vis dans la commune. En 2014, j’étais candidat aux côtés de Bernard Éthuin. J’ai accepté de prendre la responsabilité pour une liste d’ouverture à gauche, rajeunie, renouvelée à près de 80 %. Nous voulons changer les choses.
Qu’est-ce qui ne fonctionne pas actuellement ?
Nous voulons remettre les jeunes en phase avec l’école, les parents, la municipalité. Et remettre en selle des associations qui faisaient du bon travail, notamment sur le centre de loisirs qui soulageait les parents. Aujourd’hui, il n’y a plus qu’une semaine sur deux d’assurée. Nous misons sur la jeunesse. Tout part de là dès l’école, leur avenir compte.
Vous mettez la jeunesse au cœur de votre campagne ?
Il y a une petite insécurité. Alors le maire a fait poser des caméras pour 150 000 euros. Les jeunes vont ailleurs. Ça déplace le problème mais ne le règle pas. Nous voulons des éducateurs et reprendre en main le terrain pour travailler avec les jeunes et les associations. Il faut prendre le problème à la racine. Nous avons aussi des propositions sur l’environnement, la voirie, les infrastructures.
Jeudi 27 février est le dernier jour pour déposer une liste de candidatures aux élections municipales des 15 et 22 mars prochains. Nous connaîtrons bientôt l’ensemble des participants. Il restait quelques incertitudes jeudi soir dans certaines com munes. Le point dans votre édition de la semaine prochaine
