Riche de 57 associations départementales (ADIRP), la Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes (FNDIRP) revendique 4 200 membres sur le plan national dont 3 000 familles composées de descendants. Dans l’immédiate après-guerre, « nous regroupions 50 000 adhérents. Actuellement, nos déportés et internés disparaissent et les descendants ne répondent pas toujours à nos propositions d’adhésion », regrette Anita Bauduin.
L’enjeu mémoriel à l’école
Le congrès « a permis d’affirmer la nécessité de continuer le travail de mémoire et de transmission », se félicite Pierre Chéret, le président de l’ADIRP 62 ravi de l’accueillir en « cette terre de résistances et de mémoires ». Cet Avionnais dont le père Louis, résistant, a été déporté à