« Les dangers de la loi de sécurité globale qui nous réunissent aujourd’hui sont nombreux. On pourrait parler des missions de police nationale dévolues à la police municipale, du développement de la sécurité privée... Il y a aussi les atteintes à la liberté de manifester : les images des caméras piétons des forces de l’ordre envoyées en direct à un centre de commandement, la généralisation de l’utilisation des drones pour la surveilla

Sécurité globale
« Cette loi, nous n’en voulons pas »
Publié le 27 novembre 2020 à 12:54 Mise à jour le 30 novembre 2020
Ludovic Finez, secrétaire à l’organisation du SNJ-CGT, a pris la parole au nom des syndicats de journalistes (SNJ-CGT, SNJ, CFDT-Journalistes, SGJ-FO) et du Club de la presse Hauts-de-France lors du rassemblement organisé samedi 21 novembre à Lille. Il explique pourquoi les journalistes ne veulent pas de cette loi.