13 associations humanitaires viennent de saisir la Défenseure des droits et sept rapporteurs spéciaux des Nations unies pour les alerter sur les conditions de vie inhumaines des 1 000 à 1 200 exilés vivant actuellement à Calais. Selon François Guennoc, secrétaire de l’Auberge des Migrants, il y aurait moins d’exilés à Calais s’il existait une vraie politique européenne et française d’accueil.Pour ceux qui ont un vrai projet en Grande-Bretagne (où ils ont de la famille et une possibilité réelle d’emploi), il faudrait que les demandes d’asile puissent être instruite, directement en France. Cela leur éviterait de risquer à nouveau leur vie en tentant un passage clandestin. Ce mercredi 19 août, le corps d’un jeune Soudanais a été retrouvé sur la plage de Sangatte. Quatre exilés sont morts en 2019.
Somme Le boom des budgets citoyens et participatifs
