Actuellement « 23 pays et 850 millions de personnes font face à un conflit de moyenne ou de forte intensité dans le monde. Du Yémen au Mali, de l’Ethiopie à la Palestine et à l’Ukraine aujourd’hui, les guerres se généralisent. Elles apportent aux populations leur lot de souffrance et de désolation (88 % des personnes tuées sont des civils), mais profitent en priorité aux marchands d’armes ». C’est sur la base de ce constat que l’UD CGT du Nord appelait à se mobiliser. « Le capitalisme mortifère n’a plus rien à offrir aux peuples que la guerre afin de trouver de nouveaux marchés pour écouler ses produits sans se soucier des conséquences terribles pour l’Humanité en cas de guerre nucléaire », estime Pascal Blindal, son responsable à la politique revendicative.
Dénonçant tant « l’agression meurtrière de la Russie contre l’Ukraine » que « la responsabilité de l’OTAN dans ce conflit », Guy Payen du Comité seclinois pour la Paix