Avant l’adoption de la loi Veil, les femmes souhaitant interrompre leur grossesse avaient recours à la prise de médicaments toxiques, aux traumatismes abdominaux ou à l’introduction intra-vaginale d’objets pointus et acérés responsables de perforations utérines, intestinales, ou d’infections parfois fatales.
Le passage d’un acte artisanal à un acte pratiqué en milieu médical par un professionnel qualifié a réduit de façon significative les risques infectieux et hémorragiq

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Avortement interdit
Qui veille sur la balance bénéfices-risques ?
par Lydie LYMER
Publié le 1er juillet 2022 à 13:27