Des projecteurs obliques attirent l’attention sans cesse sur ce que les journalistes parisiens appellent le « fief de Marine Le Pen ». Une appellation inique car en fait, elle n’y est vraiment que lors des campagnes ou pour voter. En plus, ses racines sont plus bretonnes par son père Jean-Marie Le Pen et parisiennes du fait de sa jeunesse à Saint-Cloud, en banlieue chic.
La faute à pas de chance en fait. Les malversations d’un élu socialiste, Gérard Dalongeville, ont rejailli sur tout